Épisode 182 – Comment les femmes peuvent utiliser leur voix pour se guérir et guérir les autres ?

Aujourd’hui, c’est une émission bien spéciale parce que je ne sais pas de quoi je vais te jaser. Oui, oui, je ne sais pas de quoi je vais te parler dans ce podcast.

Tout ce que je sais, c’est que j’ai donné un nom à cet épisode : comment les femmes peuvent utiliser leur voix pour se guérir et guérir les autres ?

Je suis excitée, je suis dans l’archétype de la jeune fille, ce que je fais aujourd’hui, je ne l’ai jamais fait en podcast.

Je l’ai déjà fait dans un live ou encore dans les coachings… Mais, jamais dans un podcast. J’ai décidé de le faire, parce que j’avais le goût de m’amuser.

Pour celles qui me connaissent, tu sais que j’ai besoin d’avoir du plaisir dans mon entreprise et dans ma vie. C’est le 4e épisode que j’enregistre dans la même journée, et je veux que chaque épisode que j’enregistre reste dans le plaisir.

Souvent, quand tu veux faire plein de contenu en avance, les premiers contenus sont pleins d’amour et pleins d’énergie… Mais, plus tu avances, moins tu sens l’énergie, parce que tu n’as plus d’énergie.

Des fois, j’ai besoin de m’ajouter des règles de jeu, pour jouer, pour rester dans ce plaisir…

J’avais envie aujourd’hui de me jeter dans la gueule du loup et je veux enseigner aux femmes comment raconter des histoires. Parce que c’est un skills que j’ai le storytelling !

J’avais donc le goût de jouer avec mes cartes d’oracle. Si tu veux va écouter l’épisode sur YouTube, tu vas pouvoir me voir avec mon jeu d’oracle de Marie-Pier Chaumont entre les mains.

Je vais piger une carte et ça va être mon sujet du jour.

Même si je n’ai rien préparé pour cet épisode, j’avais quand même un objectif avec ce podcast, c’est de monter comment est-ce qu’on peut se faire du bien nous les femmes grâce à nos histoires.

Des fois, j’ai l’impression qu’on pense trop quand on veut raconter une histoire, on est beaucoup trop connectée avec notre mental.

On oublie donc de se connecter à notre corps et nos histoires partent de notre corps. Tes histoires sont déjà à l’intérieur de toi.

Je commence! Je vais piger une carte… Je n’aurais pas pu prendre une meilleure carte. On voit une main avec une lumière et deux triangles. Sur la carte, c’est aussi écrit : guérison sacrée.

Moi, ce que ça me dit c’est que nous les femmes on a ensemble cette possibilité de se guérir et on devrait ramener les cercles de paroles.

Il n’y a jamais un cercle pareil et à chaque fois ses cercles ont un grand pouvoir parce que ça te permet de verbaliser et de libérer plein de choses.

Pourquoi ces cercles ont un aussi grand impact ? Ben en fait, c’est que c’est un « Safe place ». Personne ne te juge, personne ne te décourage. C’est pour ça que c’était important pour moi de mettre en place cette dynamique de « Safe place » dans mes coachings, dans mes ateliers, etc.

Ce que j’aime dans les cercles de femmes c’est que souvent tu ne connais pas ces femmes. Je me sens donc comme si on est toutes au même niveau, au même degré de vulnérabilité. C’est tellement beau.

Sans le réalisé quand on partage quelque chose de difficile, une leçon ou encore un défi dans notre vie, il y a quelqu’un dans le groupe qui avait exactement besoin d’entendre ça. En se libérant, on libère souvent les autres.

C’est donc ce que j’ai envie d’apporter aujourd’hui avec guérison sacrée : plus on partage des choses difficiles, nos difficultés dans notre vie plus ça nous fait du bien à nous et aux autres parce que les autres réalisent qu’ils ne sont pas seuls.

Des fois, pour s’éloigner de cette solitude, il faut avoir plein de cercles pour pouvoir se libérer : cercles d’entrepreneurs, spirituels, d’amis, de clientes, etc.

Je pensais avant qu’on devait tout dire pour être nous à 100%! J’ai réalisé en prenant du recul, en incarnant ma femme sage que ce n’est pas nécessaire de dire toutes et à tout le monde. Il faut choisir à qui on dit certaines choses.

Je pense qu’il faut choisir notre monde! J’ai des personnes, dans ma vie, qui vont m’encourager à 100% dans mes rêves. Ces gens-là me boost, j’ai besoin d’eu dans ma vie.

Quelque part, on peut choisir avec quelle voix, on se connecte. Mais, il y a aussi notre voix. Toi, es-tu capable de mettre tes limites? Es-tu capable de toi-même savoir ce qui est trop?

Quand on dit quelque chose à quelqu’un et que ça vient vraiment nous déranger et que ça pète notre baloune, ça veut dire que c’est un rêve, un projet ou une relation importante pour nous.

Chaque communication qu’on a, ça nous apporte plus loin dans notre vie. Donc, je pourrais parler pendant des heures. C’est une carte tellement inspirante.

Je vais piger une carte pour la conclusion. J’ai pigé la carte de l’énergie pure.

Il y a tellement de choses que je pourrais dire. Mais, quand tu te connectes à ton énergie pure, c’est facile de raconter des histoires.

Tout le monde peut faire ça raconter des histoires. Mais, souvent on pense trop alors en faisant des exercices comme piger des cartes d’oracle pour avoir un sujet de départ, ça te permet d’être plus dans le flow.

Tu vas donc parler avec ton énergie pure. C’est d’ailleurs, ce que j’ai envie de te montrer dans ma formation Storytelling, oui, tu vas voir des stratégies, mais il n’y a pas de stratégies de communication qui fonctionnent sans énergies, sans authenticité, sans plaisir.

Dans l’atelier, on va pratiquer ce genre de truc que j’ai fait aujourd’hui. C’est-à-dire de se connecter à son cœur et de raconter une histoire qui vient de nos trips sans que ce soit mentalisé.

Storytelling 101 – Développe l’art de raconter des histoires pour influencer, inspirer et vendre un atelier que j’offrirai live le 9 juin prochain et qui sera aussi disponible en replay.

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Notes du podcast :

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2560 1440 Stéphanie Méthé