On le sait que c’est important de captiver son audience, car c’est vraiment ce qui peut nous permettre de réussir en affaire.
C’est une compétence qui peut faire la différence entre une présentation réussie et une présentation plate, un produit qui se vend super facilement et l’autre qui est difficile à vendre.
Quand on arrive à captiver son audience, que ce soit sur les médias sociaux, dans une présentation devant d’autres personnes ou un speech qu’on a à faire, ça peut réellement influencer la vie d’une personne.
Un message qui est puissant et aussi intelligent peut aider une autre personne à atteindre ses objectifs professionnels ou personnels et à avoir un impact positif sur sa vie.
Mais parfois, c’est notre narratif qui nous joue des tours, les phrases qu’on se répète en boucle qui nous envoie comme message que ce n’est pas vraiment notre force de raconter des histoires ou de partager un message.
Donc aujourd’hui, je te partage les 3 histoires que tu te racontes peut-être qui t’empêche de captiver ton audience.
1 – Je n’ai rien d’intéressant à raconter
Ça, j’entends ça super souvent dans mes groupes que certaines femmes disent n’avoir rien d’intéressant à raconter.
« Je n’ai pas une vie comme toi Stéph, moi je vis mon petit train-train quotidien, je ne fais rien de spécial dans ma journée. »
Mais la vérité c’est que ce sont souvent des excuses.
Une excuse pour ne pas se mettre de l’avant, pour ne pas se montrer, pour ne pas exposer sa vulnérabilité.
Ça peut aussi être relié à la peur de l’échec, de la critique ou à une tendance à se sous-estimer.
On a tous quelque chose à raconter que ce soit de petites, moyennes ou grandes histoires.
Il n’y a pas personne dans le monde qui n’a pas d’histoires. Tant qu’on est en vie, on a des histoires.
Mais est-ce que tu mords dedans, est-ce que tu l’enjoy ta vie, est-ce que tu prends le temps de t’observer dans l’action du quotidien ?
Être intéressante, ce n’est pas seulement une question de sujet, c’est une question d’énergie, de passion, de feu quand tu prends la parole et que tu racontes quelque chose.
Arrête de te répéter à toi-même que tes histoires ne sont pas intéressantes parce que c’est faux.
Peut-être, que tu sous-estimes qu’un événement banal pour toi peut faire la différence pour quelqu’un d’autre.
2— J’ai l’impression de ne pas avoir vécu de grandes souffrances qui pourrait interpeller les gens
On pense souvent qu’il faut avoir souffert pour réussir à avoir un bon message qui punch et qui pogne en affaire et en marketing.
Que ce soit des histoires de « burnout » ou de « faillite » ou de « maladie » ou encore d’un début vraiment chaotique, on est habitué d’entendre ces histoires difficiles qui ont mené à de grands succès.
Mais ça se peut que toi tu te dises : je n’ai pas vécu ça, j’ai eu une belle enfance, je n’ai pas vécu de grands problèmes, comme tous les êtres humains, j’ai pris de mauvaises décisions, j’ai fait des choix parfois difficiles, mais je n’ai pas vécu de grandes souffrances ou je n’ai pas une histoire rocambolesque à raconter.
Cette réalité, qui est peut-être la tienne, fait en sorte que parfois en essayer de trouver un bobo qui n’existe pas.
Si le bobo n’existe pas, ce n’est pas nécessaire de le créer.
C’est une croyance de penser que pour réussir il faut seulement raconter les chemins difficiles et chaotiques.
Tu peux avoir une expertise qui est extraordinaire et raconter des histoires, des métaphores pour expliquer par exemple les concepts que tu enseignes.
Tu peux avoir un message hyper puissant sans avoir eu un wake-up call qui a transformé ta vie à la suite d’une grosse tempête dans ta vie.
3— Ce n’est pas facile pour moi de divertir les autres
Il y a des personnes qui croient aussi que pour capter l’attention, il faut être drôle et divertir les autres.
On ne devient pas entrepreneure pour devenir une humoriste ou pour faire son women-show. Oui, il y a des femmes qui se démarquent pour ça, mais ce n’est pas nécessaire de jouer du UKULÉLÉ sur Instagram pour vendre du shampoing.
C’est important de rester soi-même sans essayer d’être quelqu’un qu’on n’est pas. C’est une croyance de penser que notre audience a besoin d’être divertie.
Oui parfois on écoute des vidéos sur les réseaux sociaux pour se divertir, mais combien de fois j’écoute aussi des vidéos parce que la personne m’inspire ou parce que je recherche un type d’énergie à ce moment-là ?
La plupart des gens cherchent à être connectés et pas seulement à rire. Il faut cesser de s’imaginer qu’il faut être une conteuse née pour réussir.
Ça se peut que ce ne soit pas inné chez toi de raconter des histoires, mais c’est quelque chose qui se travaille.
Donc tu ne deviendras jamais peut-être une humoriste ou une bête de scène, mais clairement tu peux développer des compétences qui vont t’aider à mieux raconter des histoires et maîtriser l’art de faire des punchs.
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