Épisode 120 – 3 choses à libérer pour accéder à l’abondance financière

Épisode 120 – 3 choses à libérer pour accéder à l’abondance financière 2560 1440 Stéphanie Méthé

Aujourd’hui, j’avais envie de te parler d’argent, parce que c’est tellement important pour moi d’en parler et de briser les tabous par rapport à ça.

Je pense sincèrement que chaque femme qui lit cet article présentement, oui, toi, tu mérites l’abondance financière. Peu importe ton âge, que tu aies 30-40-60 ans, il n’y a pas de limite et il n’y a pas de moment qui est meilleur que l’autre pour accéder à l’abondance financière. En fait, tu peux y arriver à partir d’aujourd’hui.

La problématique, c’est qu’il y a tellement de croyances qui sont ancrées en nous, tellement de blessures, de blocages qu’il y a certaines personnes qui ont l’impression, parfois, que ce ne sera pas possible d’y accéder.

Moi j’ai envie de te dire que c’est possible de faire un switch dès aujourd’hui qui va avoir un impact dans ta vie, dans ton business. Et c’est pour ça que j’ai décidé de faire une série d’épisodes / articles sur l’argent, mais aussi de relancer Argent Flyé au Féminin édition 2.0.

Je vais donc te partager aujourd’hui 3 choses à libérer pour accéder à l’abondance financière.

1- Se libérer du passé

La voix de la libération c’est ce que j’enseigne dans les communicatrices flyées, c’est vraiment la voix qui nous permet de se libérer de certaines choses qui nous empêchent de réaliser nos rêves. L’argent a été un tabou très, très longtemps, ce qui fait que nous les femmes, nous avons des blessures, des choses qui nous empêchent vraiment de se sentir libres financièrement. Donc la première chose qui est super importante à travailler, c’est le passé. Notre passé familial, générationnel, ancestral a besoin d’être libéré et verbalisé. Ce sont nos limites générationnelles qui font en sorte qu’aujourd’hui on est encore pris dans des engrenages, dans de vieux patterns financiers et on a souvent les mêmes patterns que nos parents.

Les premières personnes à regarder au niveau de l’argent, c’est notre famille directe : notre mère, notre père, sœur, frère, oncle, tous les gens comme ça autour de nous, c’est rempli d’informations par rapport à nos croyances en lien avec l’argent.

C’est certain que si tes parents utilisaient des phrases comme « il faut travailler fort », « il faut travailler dur », que « l’argent, ça ne pousse pas dans les arbres », et que « ce n’est pas facile », ça se peut que tu portes en toi ces limites-là, ces limites qui viennent de tes parents. Et moi, c’est en faisant ce travail au niveau de mon passé familial que j’ai découvert que les patterns familiaux étaient complètement différents par rapport à l’argent du côté de ma mère et du côté de mon père. Et en creusant encore plus, parce qu’il y a notre famille directe, mais il y a les générations avant nous, c’est tellement intéressant tout ce que j’ai découvert et à quel point j’ai vu que les femmes n’avaient pas beaucoup de pouvoir du côté, par exemple, à ma mère dans le sens que c’est normal parce que dans les temps, les femmes, on a commencé à voter au Québec en 1948, on a été la dernière province à voter au Canada. Imagine. C’est fou, pareil. Donc en 1919, on donnait le droit de vote aux femmes, et au Québec c’était en 1948. Ce qui fait en sorte que commencer déjà à penser à l’indépendance avec le vote, là on ne parlait même pas encore d’argent, donc ça a un impact.

Quand tu regardes ta grand-mère et ton arrière-grand-mère, elles ont toutes souffert de ça, elles ont toutes souffert aussi de l’emprise de l’église. Donc tu ne pouvais pas avoir d’argent parce que ça ne paraissait pas bien, parce que le curé, lui ne voulait qu’on ait l’argent. Si on voulait être accepté par le curé, il ne fallait pas nécessairement faire de l’argent, c’était lui qui en faisait.

Donc nous vivons encore des blessures soit qui sont directement familiales, générationnelles, ancestrales aussi. Et pour celles qui croient aux anciennes vies, ça peut venir de beaucoup plus loin aussi. Ça peut venir de tellement encore plus loin qu’une des premières choses à libérer, c’est de faire un travail de fond au niveau de son passé. Parce qu’historiquement parlant, il y a quelque chose dans le corps qui peut bloquer l’abondance au niveau énergétique, on peut être encore crispé énergétiquement à cause des choses qui se sont passées il y a 10 ans, 20 ans, 30 ans, 60 ans, 100 ans. Alors, c’est certain que si on ne verbalise pas, qu’on n’ose pas aller creuser dans ce passé familial, si on n’ose pas aller poser les bonnes questions à nos parents, ou de verbaliser ça, on le garde à l’intérieur de nous et ça se traduit dans notre corps et l’emprise que pouvait avoir, exemple, je parle de l’église, mais c’est un exemple, mais l’emprise que pouvait avoir l’église à l’époque par rapport à l’argent, c’est une emprise qu’on a encore parfois énergétiquement dans notre corps. On a donc  une emprise financière qui peut être encore là aujourd’hui et c’est lié à plein d’affaires. Donc le passé, c’est la première chose à se libérer.

Puis, évidemment, on ne pourra pas tout libérer en claquant des doigts, ce n’est pas « OK, c’est bon, je décide à partir d’aujourd’hui que je me libère de mon passé familial, générationnel et ancestral », c’est un travail qui peut se faire sur des années. Par contre, ce que j’ai envie de te dire pour te rassurer, c’est que ce n’est pas parce que c’est un travail qui se fait sur des années que tu ne peux pas accéder à l’abondance dès aujourd’hui. Donc tu peux te libérer de ton passé tout en accédant à l’abondance.

2- Se libérer du sentiment de pauvreté

Je sens énormément ce sentiment-là dans mes groupes de coaching ou dans mes lives ou dans plusieurs endroits auxquels je me présente. Il y a beaucoup de femmes qui portent en elles ce sentiment-là de pauvreté. Elles craignent tellement de manquer d’argent, elles ont peur de ne plus être capables de payer les choses pour leurs enfants, de ne plus être capables de payer la maison, de ne plus être capables de payer quoi que ce soit. Et ce sentiment de pauvreté qu’on peut ressentir dans notre corps, dans notre cœur, dans notre énergie nous empêche directement d’accéder à l’abondance financière. Une phrase que je n’arrête pas d’entendre depuis des semaines c’est : « je veux faire des sous », « je veux faire des sous ». Lâchez-moi ça, les girls, on lâche ça le mot « sous » parce que des sous c’est souvent associé à un sentiment de pauvreté. Parce que les femmes qui veulent faire de l’argent n’utiliseront jamais ces mots-là. On va utiliser « abondance », « argent », etc.

Le sentiment de pauvreté est souvent lié à, oui aussi, des blessures du passé, mais regarde comment tu parles, tu parles comment de l’argent. Le sentiment de pauvreté, on peut beaucoup le remarquer dans notre vocabulaire, dans la façon qu’on parle de l’argent avec les autres. Et aussi, quand il y a des femmes qui parlent d’argent autour de nous, si toi ça te dérange quand tu m’entends parler d’argent, quand tu entends d’autres femmes d’affaires en parler, si ça te démange et ça te dérange, ça se peut très bien que ton sentiment de pauvreté soit très fort, qu’il y ait eu un sentiment d’injustice aussi qui s’installe face aux femmes d’affaires qui font de l’argent, et là tu es comme « pourquoi elle a pu faire de l’argent et moi non ? », « pourquoi elle, c’est facile et moi non ? ». Donc le sentiment de pauvreté fait en sorte aussi que toutes nos actions sont plus difficiles. C’est certain qu’en ayant ce mindset-là, parfois quand d’autres femmes parlent d’argent, c’est frustrant « elle ne va pas arrêter de dire ses chiffres sur Instagram, je ne suis plus capable, je ne suis plus capable de voir ses chiffres sur Instagram, ça me gosse » parce que tu portes en toi le sentiment de pauvreté. Ça, c’est la deuxième chose à libérer que je trouve, est très importante, et ça va être beaucoup au niveau de ton discours interne que tu vas pouvoir le remarquer.

3- Se libérer de ton identité actuelle

Ton identité actuelle peut nuire à la femme incroyable que tu veux incarner. Probablement que si tu lis cet article, et si tout ce qui est argent, faire de l’argent, l’abondance t’intéressent, c’est qu’il y a une partie de toi qui a envie d’être libre, qui a envie de réaliser ses rêves et d’utiliser l’argent comme un facilitateur de rêve. Tu le sais à l’intérieur de toi, probablement, que tu l’as ça, mais ton identité d’aujourd’hui t’empêche d’accéder à cette identité de la femme abondante. Parce que peut-être qu’aujourd’hui, tu te considères comme une fille qui est gentille, parce qu’on t’a appris quand tu étais jeune qu’être gentil c’est ce qui allait te permettre d’obtenir et d’accéder à ce que tu voulais dans la vie. Tu t’es donc adaptée à ça et tu as fait en sorte que tu allais être gentille avec tout le monde autour de toi. Ce qui fait que ça te challenge sans t’en rendre compte, c’est super inconscient, mais si demain matin tu fais 500 000 $ ou tu fais un million, tu as peur de perdre cette identité-là que tu as bâtie dans les dernières années en lien avec cette femme-là qui est généreuse, qui est gentille ou qui ne dérange pas.

Parce qu’à la base, je le dis tout le temps dans mes podcasts, qu’est-ce qu’on veut les êtres humains ? On veut être aimé, on veut être accepté, on veut plaire. Et quand on est là-dedans et quand on a l’identité d’une femme gentille, d’une femme généreuse, d’une femme qui est aimée par les autres, qui est aimée par ses proches, qui ne fait pas trop de vagues, on est bien là-dedans. Puis parfois, de passer de cette femme-là à la femme abondante et même riche, on a peur de perdre ce statut-là, on a peur que l’argent qu’on a déplaise aux autres, que l’argent qu’on a fait en sorte qu’il y a des gens qu’on aime qui ne nous aimeront peut-être plus et on a peur que les gens ne nous acceptent plus.

Ça, c’est souvent inconscient, mais quand on porte l’identité de la femme qui ne veut pas faire de vague, qui ne veut pas trop déranger, qui ne veut pas être jugée, automatiquement on se prive parfois de l’identité de la femme abondante, de la femme riche parce qu’on se dit « si je me mets à faire de l’argent et que là je me mets à déranger », et on ne veut pas déranger. Et c’est clair que ça va déranger que tu fasses de l’argent. Ça ne va pas déranger à tout le monde, il y a des gens que ça va inspirer, il y a plein de femmes autour de moi dans mes clientes qui sont hyper inspirées. Mais il y a des gens que ça dérange, même parmi mes proches. Et ça fait un ménage naturel parce que tu vois aussi, quand tu as de l’argent, qui est là pour toi pour qui tu es, et qui est là pour toi pour ton argent.

Est-ce qu’on a envie de vivre ça ? As-tu envie, toi, du jour au lendemain, de perdre certaines personnes ? D’être celle qui dérange ? Et ça, ça nous challenge, ce qui fait qu’on est tellement bien e confortable dans notre identité et notre zone de confort avec l’argent que ça fait maintenant qu’on s’empêche d’accéder à un niveau de succès supérieur pour ne pas faire de vagues auprès des gens qui nous entourent.

Alors, c’est ton identité d’aujourd’hui qui t’empêche d’accéder à l’identité du futur. Et il faut dire aussi que si on regarde là maintenant les séries ou les films populaires, il y a souvent des femmes riches qui ont l’air hyper méchantes. Tu sais, le côté méchant, le côté machiavélique est beaucoup associé, dans les films et les séries, à des femmes qui ont de l’argent.

C’est comme si on a été aussi élevées dans une culture populaire que les femmes riches sont des méchantes, ou qu’elles ont de l’argent parce qu’elles ont couché avec le boss. Mais là, on n’est plus là, il y a tellement de femmes exceptionnelles qui font de l’argent, qui contribuent au monde, qui ont un impact. Sauf qu’on est encore pris avec ces vieilles affaires-là. Et je vous le dis, la peur d’être méchante ou de paraitre méchante, c’est l’un des plus gros blocages des femmes en lien avec l’argent. C’est souvent inconscient parce que, d’une certaine façon,on le sait que l’argent ne va pas nous transformer en Cruella, mais même si on le sait mentalement, inconsciemment et énergétiquement on peut le ressentir autrement. Mais je veux vous rassurer, les femmes, faire de l’argent ne va pas vous transformer en méchantes machiavéliques. Je te rassure, tu ne te mettras pas à rire demain ou la journée que tu vas faire plus d’argent, ce n’est pas parce que tu fais 500 000 $ ou un million que tu vas te transformer en femme méchante. Ça, c’est clair. Mais en même temps, parfois est tellement bien dans notre identité actuelle qui est confortable, où on ne fait pas trop de vague, où on ne dérange pas que de passer de cette identité confortable à cette identité parfois inconfortable de faire de l’argent peut nous challenger à tel point qu’on n’y arrive pas à y accéder.

Voici donc ce que j’avais à te partager aujourd’hui.

Et toi que penses-tu que tu dois libérer pour accéder à l’abondance financière ?

Si tu as envie de t’inscrire à la journée Argent Flyé au Féminin 2.0, ça se passe le 25 mars de 10h à 16h, heure du Québec (15h à 21h heure de l’Europe). Et sache que si tu t’inscris, tu peux utiliser, grâce à cet article blogue, le code promo « ARGENTFLYEE », qui te permettra d’avoir la journée encore à 111 $. 

Comme tu es une personne fidèle et importante à mes yeux, je t’offre encore une fois ce rabais-là possible avec le code promo. J’ai trop hâte de vivre cette journée avec toi ! https://flyee.stephaniemethe.com/formation-argent-flye