Je suis Stéphanie Méthé,
la coach flyée
(aka coach professionnelle certifiée en programmation neuro-linguistique), et j’aide les femmes entrepreneures à “ flyer leur entreprise “ et faire rayonner leur personnalité.
Salut !
Je suis Stéphanie Méthé,
la coach flyée
(aka coach professionnelle certifiée en programmation neuro-linguistique), et j’aide les femmes entrepreneures à “ flyer leur entreprise “ et faire rayonner leur personnalité.
Flyer signifie :
Se permettre d’être soi, de rêver grand, de réaliser grand, de sortir du moule, même si ça ne plaît pas à tout le monde!
Flyer signifie :
Se permettre d’être soi, de rêver grand, de réaliser grand, de sortir du moule, même si ça ne plaît pas à tout le monde!
Mon parcours
Mon histoire
Il y a eu un moment dans ma vie où j’avais tout pour être heureuse, je vivais en Australie à l’époque dans un logement sur le bord de la mer, j’avais ma job de rêve à Sydney où je travaillais à la radio et en plus j’avais un super conjoint surfeur australien. Je croyais vraiment avoir atteint le summum de ma vie idéale.
La réaction de joie a toutefois été temporaire, et j’ai rapidement réalisé que, même devant ce magnifique paysage, je n’étais pas plus heureuse… ce qui m’a fait ressentir encore plus d’insatisfaction, de colère, et de frustration.
Il aura fallu que mon père tombe malade en 2013 et soit atteint de l’Alzheimer pour que j’effectue une prise de conscience sur ma propre vie. J’ai crû pendant longtemps qu’en modifiant notre monde extérieur (en ayant un bon travail, un amoureux extraordinaire, une famille, une maison que l’on aime) on contribuait à améliorer notre monde intérieur. La réalité est qu’il faut travailler sur son monde intérieur avant tout, pour ainsi modifier la perception de notre monde extérieur. Si nous ne sommes pas bien avec nous-mêmes, nous pouvons être au sommet de la plus belle montagne, et avoir quand même l’impression qu’il nous manque quelque chose.


Mon histoire
Il y a eu un moment dans ma vie où j’avais tout pour être heureuse, je vivais en Australie à l’époque dans un logement sur le bord de la mer, j’avais ma job de rêve à Sydney où je travaillais à la radio et en plus j’avais un super conjoint surfeur australien. Je croyais vraiment avoir atteint le summum de ma vie idéale.
La réaction de joie a toutefois été temporaire, et j’ai rapidement réalisé que, même devant ce magnifique paysage, je n’étais pas plus heureuse… ce qui m’a fait ressentir encore plus d’insatisfaction, de colère, et de frustration.
Il aura fallu que mon père tombe malade en 2013 et soit atteint de l’Alzheimer pour que j’effectue une prise de conscience sur ma propre vie. J’ai crû pendant longtemps qu’en modifiant notre monde extérieur (en ayant un bon travail, un amoureux extraordinaire, une famille, une maison que l’on aime) on contribuait à améliorer notre monde intérieur. La réalité est qu’il faut travailler sur son monde intérieur avant tout, pour ainsi modifier la perception de notre monde extérieur. Si nous ne sommes pas bien avec nous-mêmes, nous pouvons être au sommet de la plus belle montagne, et avoir quand même l’impression qu’il nous manque quelque chose.
Mon histoire
Il y a eu un moment dans ma vie où j’avais tout pour être heureuse, je vivais en Australie à l’époque dans un logement sur le bord de la mer, j’avais ma job de rêve à Sydney où je travaillais à la radio et en plus j’avais un super conjoint surfeur australien. Je croyais vraiment avoir atteint le summum de ma vie idéale.
La réaction de joie a toutefois été temporaire, et j’ai rapidement réalisé que, même devant ce magnifique paysage, je n’étais pas plus heureuse… ce qui m’a fait ressentir encore plus d’insatisfaction, de colère, et de frustration.
Il aura fallu que mon père tombe malade en 2013 et soit atteint de l’Alzheimer pour que j’effectue une prise de conscience sur ma propre vie. J’ai crû pendant longtemps qu’en modifiant notre monde extérieur (en ayant un bon travail, un amoureux extraordinaire, une famille, une maison que l’on aime) on contribuait à améliorer notre monde intérieur. La réalité est qu’il faut travailler sur son monde intérieur avant tout, pour ainsi modifier la perception de notre monde extérieur. Si nous ne sommes pas bien avec nous-mêmes, nous pouvons être au sommet de la plus belle montagne, et avoir quand même l’impression qu’il nous manque quelque chose.
J’ai donc fait un travail sur moi-même qui s’est étalé sur plusieurs années où j’ai travaillé sur mes croyances, mes blocages, ma confiance en moi et où j’ai solidifié mes fondations. Aujourd’hui dans mon entreprise : Prendre soin de moi, conserver un bon mindset et faire constamment du développement personnel sont mes clés de réussite.
Je pense sincèrement que notre plus grand blocage dans la vie est nous-même. C’est pour ça que parfois dans notre entreprise nous essayons des stratégies et techniques qui fonctionnent chez les uns mais ne fonctionne pas pour nous. La raison peut être émotionnelle et non stratégique.
Avec mes clients, je travaille sur leurs blocages intérieurs d’abord afin de faire rayonner par la suite leur entreprise à l’extérieur (sur les réseaux sociaux, dans leur communication, les évènements).
Je le fais en la mémoire de mon père qui m’a permis de découvrir qui je suis.
J’ai donc fait un travail sur moi-même qui s’est étalé sur plusieurs années où j’ai travaillé sur mes croyances, mes blocages, ma confiance en moi et où j’ai solidifié mes fondations. Aujourd’hui dans mon entreprise : Prendre soin de moi, conserver un bon mindset et faire constamment du développement personnel sont mes clés de réussite.
Je pense sincèrement que notre plus grand blocage dans la vie est nous-même. C’est pour ça que parfois dans notre entreprise nous essayons des stratégies et techniques qui fonctionnent chez les uns mais ne fonctionne pas pour nous. La raison peut être émotionnelle et non stratégique.
Avec mes clients, je travaille sur leurs blocages intérieurs d’abord afin de faire rayonner par la suite leur entreprise à l’extérieur (sur les réseaux sociaux, dans leur communication, les évènements).